Chroniques & polémiques

Description

Chronique & polémiques du passé et du présent
À l’origine, je ne pensais pas nécessaire que le blog d’un enseignant chercheur, même ouvert aux questions politiques, doive inclure également des contributions polémiques qui, au-delà, de l’actualité brûlante, évoque aussi des événements très significatifs, mais trop vite oubliés (voire même occultés …). La création in extremis de cette rubrique est une réaction face au dérèglement de notre élite intellectuelle, devenu manifeste depuis une décennie. On observait quelque chose de semblable dans l’élite politique auparavant. Le mot « élite » n’a pas ici de connotation particulière et n’implique pas quelconque considération sur les « meilleurs » d’un groupe, mais simplement ceux qui ont des pouvoir de représentation et de reproduction de ce groupe. Perry Anderson en 1998, écrivait quelque chose d’intéressant à ce sujet (Les Origines de la Postmodernité, Les Prairies ordinaires, 2010) : « Dans les années 1990 (…) on a assisté à un encanaillement généralisé des classes possédantes : des princesses-starlettes aux présidents corrompus (…) de la disneyfication des protocoles à la tarentinisation des pratiques (…) C’est ce genre de scène qui forme (…) l’arrière-plan social du post-moderne »

Teutatès
https://todomitologia.com/?s=teutat%C3%A8s

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Chronique & polémiques du passé et du présent
À l’origine, je ne pensais pas nécessaire que le blog d’un enseignant chercheur, même ouvert aux questions politiques, doive inclure également des contributions polémiques qui, au-delà, de l’actualité brûlante, évoque aussi des événements très significatifs, mais trop vite oubliés (voire même occultés …). La création in extremis de cette rubrique est une réaction face au dérèglement de notre élite intellectuelle, devenu manifeste depuis une décennie. On observait quelque chose de semblable dans l’élite politique auparavant. Le mot « élite » n’a pas ici de connotation particulière et n’implique pas quelconque considération sur les « meilleurs » d’un groupe, mais simplement ceux qui ont des pouvoir de représentation et de reproduction de ce groupe. Perry Anderson en 1998, écrivait quelque chose d’intéressant à ce sujet (Les Origines de la Postmodernité, Les Prairies ordinaires, 2010) : « Dans les années 1990 (…) on a assisté à un encanaillement généralisé des classes possédantes : des princesses-starlettes aux présidents corrompus (…) de la disneyfication des protocoles à la tarentinisation des pratiques (…) C’est ce genre de scène qui forme (…) l’arrière-plan social du post-moderne »

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